Le choix du braquet est essentiel en vélo. Il permet de modifier la vitesse à laquelle on pédale, et donc l’effort fourni. Pour choisir le braquet idéal, il faut déterminer sa puissance et sa fréquence de pédalage.

Pour une puissance donnée, il existe plusieurs braquets possibles, en fonction de la fréquence de pédalage. Plus la fréquence de pédalage est élevée, plus le braquet sera petit. Inversement, plus la fréquence de pédalage est faible, plus le braquet sera grand.

Il existe trois types de braquets :

  • Le braquet fixe, qui ne change pas.
  • Le braquet courant, qui est modifié en fonction de la vitesse.
  • Le braquet de côte, qui est spécialement étudié pour les montées

Comment savoir le braquet d’un vélo ?

Il est essentiel de connaître son braquet afin de pédaler efficacement et sans se fatiguer. Voici quelques conseils pour déterminer le braquet de son vélo.

Pour calculer son braquet, il faut d’abord mesurer la distance entre l’axe du pédalier et l’axe de la roue arrière. Ensuite, il faut multiplier cette distance par le nombre de dents du pédalier. Si votre vélo est équipé d’une cassette à 11 vitesses, il faudra multiplier la distance par 11.

Par exemple, si la distance mesurée est de 60 cm, le braquet sera de 660 cm (60 cm x 11). Le braquet idéal dépend de la vitesse à laquelle on souhaite rouler. Plus la vitesse est élevée, plus le braquet doit être petit. A l’inverse, plus la vitesse est faible, plus le braquet doit être grand. Le braquet détermine également l’effort fourni pour faire avancer le vélo. Plus le braquet est grand, plus l’effort est important.

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Le braquet idéal dépend donc de la puissance du cycliste. Il est également important de choisir le bon rapport de transmission en fonction du terrain sur lequel on va rouler. Par exemple, sur un terrain plat, il est conseillé de choisir un rapport de transmission assez grand afin d’aller plus vite. A l’inverse, sur un terrain vallonné, il est préférable de choisir un rapport de transmission plus petit pour éviter de se fatiguer.

Quel plateau pour monter une côte ?

Certains cyclistes ont la chance de vivre dans une région où les côtes sont nombreuses et faciles à monter. D’autres, en revanche, habitent dans une région où les côtes sont rares et difficiles.

Quel plateau choisir pour monter une côte ? Le plateau est l’un des éléments les plus importants du vélo. Il détermine la vitesse à laquelle le vélo monte une côte. De plus, il influence le confort de la montée. Le choix du plateau dépend de la longueur de la côte et de la vitesse à laquelle on veut la monter.

Pour une côte courte et rapide, il faut un petit plateau. Pour une côte longue et lente, il faut un grand plateau. Il est également important de choisir le bon rapport de démultiplication. Le rapport de démultiplication est le rapport entre la taille du plateau et la taille de la roue arrière. Il se mesure en dentures (dents) ou en pouces. Pour une côte courte et rapide, il faut un rapport de démultiplication élevé. Pour une côte longue et lente, il faut un rapport de démultiplication faible.

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Le choix du plateau et du rapport de démultiplication dépend de la puissance du cycliste. Plus la puissance du cycliste est élevée, plus il peut utiliser un grand plateau et un rapport de démultiplication faible.

Le cycliste doit également choisir la bonne taille de plateau. La bonne taille de plateau dépend de la taille du cycliste et de la taille de la roue avant. Le cycliste doit choisir un plateau qui lui permette de monter la côte à la vitesse qu’il souhaite. Il doit également choisir un rapport de démultiplication qui lui permette de monter la côte sans trop forcer.